Dans les baskets de Raphaële Marchal

Quand sonne l’heure du dej : nous on a les crocs, mais Raphaële Marchal (@enrangdoignons sur insta) est déjà attablée, serviette autour du cou et micro à la main. Ses articles et interviews font saliver la France entière, saupoudrés d’humour franc de la fourchette.

Ce mois-ci, comme on s’est senti d’humeur à mettre le nez dans les popotes italiennes… On l’a appelée pour nous ouvrir la voie et devenir au passage notre égérie Gambettes & pasta. On vous présente ?

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“Les tripes à la romaine, il faut goûter, c’est important”

Hello Raphaële ! Commençons par le plus important, c’est quoi le plat qui a fait chavirer ta vie ?

La recette italienne qui m’a rendue dingue, c’était à Paris chez Giovanni Passerini et c’était des tripes “à la romaine” : avec de la sauce tomate et du parmesan, plein de câpres… Et c’était tellement bon. Vraiment, si on n’a jamais goûté ça, il faut, c’est important. 

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Ta passion de la bonne bouffe, c’est familial ?

Mon père cuisine énormément, je pense qu’il a un grimoire d’une centaine de recettes mais celle qui fait littéralement pleurer, c’est la joue de boeuf un peu caramélisée avec du lard paysan, des carottes, du vin, des oignons et on mange ça avec des patates. Je pourrais l’attaquer direct dans le plat de service. 

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Revenons à nos questions italiennes, c’est quoi pour toi la Dolce Vita ?

J’ai revu mes exigences à la baisse cette année. Maintenant, je me dis qu’il me suffit de me lever, faire une séance d’aquabike (parce que oui les restaurants me manquent mais contre toute attente, le sport aussi). Puis manger une tartine de gorgonzola. Pourquoi pas aller au cinéma toute seule, genre à la séance de 11h, c’est vraiment mon gros kiff. En fait ma Dolce Vita ce serait de faire tout ce que j’ai pas le droit de faire en ce moment.

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Un collant épais, ça compense les jupes trop courtes. J’sais pas par quelle règle de mode, mais ça compense.”

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Ce mois-ci, tu es aussi notre influenceuse style, c’est quoi ton rapport aux collants ?

Faut que j’avoue directement : j’ai un collant que j’adore et qui est tellement épais qu’on dirait un pantalon. Je le mets avec mes jupes trop courtes, limite immettables : un collant épais, ça compense, je ne sais pas par quelle règle de mode, mais ça compense. Après, les collants un peu plus originaux, c’est chouette, je les vois comme un accessoire cool.

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Et notre question pref’, celle qui divise les foules : comment tu les ranges, tes collants ?

J’ouvre le tiroir où il y a mes sous-vêtements et mes collants. Et le matin je fouille. C’est pour ça que parfois, je prends une heure de métro pour réaliser qu’il y a un trou. Je le prends au pif et, je ne sais pas pourquoi, je n’arrive jamais à jeter mes collants filés. Je ne sais pas pourquoi, je dois imaginer que je vais le recoudre.

C’est comme les mecs qui prennent un paquet de gâteau, le vident et remettent la carcasse dans le placard… Il va pas se re-remplir tout seul !

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Dernière question, la plus importante de toutes : où est-ce que ça se met à table, une experte du bon goût comme toi ?

On peut aller chez Tapisserie, se chercher un bon gâteau de la nouvelle pâtisserie de la team Septime. J’ai testé la tarte bourdaloue, la tarte au sucre, le choux à la flouve odorante (oui ça existe) et le kouign-amann. C’est fantastique. 

Et quand ça rouvrira, j’ai hâte de retourner chez Ebisu, rue du chemin vert dans le 12e c’est fantastique. Leurs sushis me manquent à mort.

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